Quelles sont les meilleures stratégies pour investir en immobilier avec des prêts étudiants ?
Commentaires (12)
C'est une excellente question ! Je pense que pas mal de jeunes actifs se la posent. Une piste à explorer, c'est peut-être de voir du côté des courtiers spécialisés dans les jeunes actifs ou les primo-accédants. Ils connaissent les banques les plus susceptibles d'être ouvertes et peuvent négocier des conditions intéressantes.
Super, merci pour le tuyau ! Je vais creuser de ce côté là. 👍👍 J'espère qu'ils pourront me débloquer la situation. 🙏
Ah, la fameuse quadrature du cercle : emprunter pour investir quand on rembourse déjà des prêts ! C'est un peu comme essayer de jongler avec des ananas, ça demande une sacrée technique. Déjà, je pense que CodeAlambic a raison, les courtiers spécialisés, c'est une bonne piste. Ils connaissent les banques qui ont le moins la tremblote face aux profils comme le tien. Mais attention, tous ne se valent pas. Faut en trouver un qui comprend vraiment les enjeux et qui soit capable de te dégoter un truc sur mesure. Parce que les solutions toutes faites, dans ce genre de situation, c'est souvent la douche froide. Ensuite, faut vraiment blinder ton dossier. Prouver que tu sais gérer tes finances, que t'as un boulot stable (ou qui a l'air stable, on est growth hacker ou on ne l'est pas !), et surtout, que ton projet immobilier est béton. Fais des simulations hyper précises, montre que tu as anticipé tous les risques, que tu as prévu un plan B, un plan C, voire un plan Z au cas où les extraterrestres débarqueraient et feraient s'effondrer le marché (on ne sait jamais, hein !). C'est là qu'il faut sortir le grand jeu et montrer que tu es une pro. Pour les types d'investissements, la location courte durée, ça peut être tentant pour le cash flow rapide, mais c'est aussi pas mal de boulot et de stress. La colocation, c'est peut-être un peu moins risqué, mais faut bien choisir ses colocataires, sinon c'est l'enfer assuré. Perso, j'aurais tendance à regarder du côté des petites surfaces bien placées, dans des villes étudiantes. C'est moins glamour, mais c'est souvent plus sûr. Et pour finir, un conseil que j'ai envie de te donner, et qui rejoint un peu une discussion qu'on avait eu l'autre jour sur les investissements malins, c'est de pas hésiter à te faire accompagner. Des experts, des conseillers... cliquez ici. C'est un investissement, certes, mais ça peut t'éviter de faire des erreurs qui coûtent cher. Après, ça dépend de tes moyens, évidemment. Mais si tu peux, ça vaut le coup d'y réfléchir. Bonne chance !
La Comtesse Cousteau a raison, faut pas négliger l'aspect "accompagnement". Moi, j'ai failli me planter en beauté en voulant faire cavalier seul. J'ai fini par prendre un coach en investissement immo, et franchement, ça a tout changé. Il m'a aidée à structurer mon projet, à négocier avec la banque... et surtout, à pas paniquer quand les taux ont commencé à remonter ! Alors oui, ça représente un budget, mais c'est un investissement sur le long terme.
L'expérience de PixelNomad confirme bien qu'un accompagnement personnalisé peut faire toute la différence. C'est vrai qu'on a souvent tendance à vouloir tout gérer seul, surtout quand on est jeune et qu'on a l'impression de pouvoir tout faire, mais se faire conseiller, c'est un gain de temps et d'argent à long terme. En fait, c'est un peu comme en marketing digital, mon domaine. Tu peux te former en ligne, lire des articles de blog, mais rien ne remplace l'expertise d'un consultant qui va analyser ta situation spécifique et te proposer une stratégie sur mesure. Surtout en investissement immo, où les enjeux sont importants. Et concernant les prêts étudiants, c'est une épée de Damoclès qui peut vite amputer ta capacité d'emprunt futur. Si on prend l'exemple d'une mensualité de 400€, même si ça paraît gérable, avec un taux d'endettement maximum de 35%, ton budget d'achat immobilier chute de 120 000€ ! C'est énorme. Donc, bien évaluer l'impact de ces mensualités sur ton projet immobilier est vital. Sans compter les gains locatifs qui sont des revenus imposables. C'est facile de se laisser griser par les chiffres et d'oublier la dimension fiscale. Et là, aïe, ça peut faire mal. Surtout si tu es encore rattaché au foyer fiscal de tes parents, l'addition peut te faire basculer dans une tranche d'imposition supérieure. Et puis, il y a la question du garant. Si tu as un garant pour ton prêt étudiant, il faut vraiment bien peser le pour et le contre avant de te lancer dans un investissement immobilier. Parce qu'en cas de difficulté, c'est lui qui sera sollicité. Et là, la confiance peut vite se fissurer, et les relations familiales en pâtir. Donc prudence. Je pense que Grace Hopper29 devrait bien se renseigner sur le différé de remboursement de son prêt étudiant. C'est une arme à double tranchant. Si elle opte pour un différé total, les intérêts vont s'accumuler et sa dette va augmenter. Mais si elle arrive à négocier un différé partiel, elle pourra au moins payer les intérêts et l'assurance, ce qui limitera l'impact sur son taux d'endettement futur. C'est vraiment du cas par cas, et ça dépend de sa filière d'études et de son profil académique.
Gabriela15, ton explication est super claire! 👍 C'est vrai que l'histoire du différé de remboursement, c'est une arme à double tranchant. Faut vraiment bien calculer son coup. Et puis, l'histoire du garant, c'est pas à prendre à la légère non plus, ça peut vite gâcher les relations. Merci pour ces conseils avisés! 🙏 Ça me donne des pistes à explorer. Je vais me pencher sérieusement sur la question du différé et voir si je peux négocier quelque chose de pas trop pénalisant. Merci encore! 😊
En parlant d'investissement et de dettes, je suis tombé sur cette vidéo qui explique si on a le droit d'investir avec un prêt étudiant. C'est toujours bon de vérifier les bases, surtout si on veut éviter les galères. Genre, est-ce que c'est légal ? Comment on fait concrètement ? Ça peut donner des idées ou au moins éviter de faire des bêtises.
Bon visionnage les amis !
Pour compléter ce que dit MemeLord75, il y a aussi des simulateurs en ligne qui permettent de voir l'impact de tes prêts étudiants sur ta capacité d'emprunt immobilier. Certains sont gratuits, d'autres payants, mais ça peut valoir le coup de tester pour avoir une idée plus précise. Tu entres tes infos (montant des prêts, mensualités, revenus...) et ça te donne une estimation de ce que tu peux emprunter en plus. Ça permet d'anticiper et d'adapter ta stratégie en conséquence.
C'est un bon conseil Gabriela15 les simulateurs! Je pense que je vais essayer d'en trouver un fiable, ca me donnera une idée concrète de ma capacitée d'emprunt. Merci!!
Et pour rebondir sur l'aspect "anticiper", j'en profite pour glisser un truc qui me semble important, surtout si on parle de finances : pensez à vérifier régulièrement vos relevés bancaires et vos assurances. On ne sait jamais, une erreur est vite arrivée, et ça peut coûter cher ! Bon, c'est peut-être un peu hors sujet, mais je me dis que c'est toujours bon de le rappeler. Grace Hopper29, si tu utilises un simulateur, compare les résultats avec ceux que t'annoncera ton banquier, tu auras une meilleure vision d'ensemble.
Gabriela15 a raison de marteler l'importance de la rigueur. C'est pas parce qu'on est jeune qu'on peut se permettre d'improviser avec les finances, surtout quand des prêts étudiants sont dans l'équation. Pour illustrer son propos, prenons l'exemple des SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) dont parle la data. C'est présenté comme un placement pierre-papier, géré par des pros, avec des rendements de 4 à 6% nets. Sur le papier, ça a l'air top pour se diversifier sans trop se prendre la tête. Le truc, c'est que les frais d'entrée sont d'environ 10%. Donc, avant de voir le moindre centime de rendement, faut déjà amortir ces frais. Si Grace Hopper29 a emprunté 20 000€ pour ses études, et qu'elle décide d'investir une partie dans une SCPI, disons 5 000€, elle va direct perdre 500 balles. Et si elle doit revendre ses parts rapidement pour une raison ou une autre, elle risque de perdre encore plus. C'est un peu le même principe qu'avec les actions, faut avoir une vision long terme pour que ça vaille le coup. Autre point à considérer, c'est la question des petites surfaces en province. La data mentionne des studios dans des villes étudiantes à 30 000 - 50 000€ avec une rentabilité de 8%. C'est séduisant, mais faut pas oublier les risques : vacances locatives, impayés, travaux... Et surtout, la gestion à distance, c'est un vrai job. Si Grace Hopper29 habite à Paris et qu'elle investit à Clermont-Ferrand, ça va vite devenir compliqué. Faut soit trouver une agence de confiance, soit faire des allers-retours réguliers, ce qui engendre des frais supplémentaires. Sans compter le temps passé à gérer les problèmes, ce qui a aussi un coût. Et enfin, le crowdfunding immobilier, c'est le placement le plus risqué de tous. Des rendements de 8 à 10% annuels, c'est du jamais vu ou presque ! Mais faut pas se leurrer, si c'est aussi élevé, c'est qu'il y a une contrepartie. En l'occurrence, c'est le risque de faillite du promoteur. Si le projet ne se concrétise pas, l'argent est perdu. Donc, c'est un peu comme jouer au casino. Faut être prêt à perdre sa mise. Bref, avant de se lancer dans un investissement, il faut bien peser le pour et le contre, et surtout, ne pas se laisser griser par les promesses de gains faciles. La prudence est mère de sûreté, comme on dit.
Bon, si je résume, on a Grace Hopper29 qui cherche à investir malgré ses prêts étudiants. L'idée des courtiers spécialisés a été lancée, avec un focus sur la nécessité d'un dossier béton et d'une bonne gestion financière. On a aussi parlé des différents types d'investissements (location courte durée, colocation, petites surfaces) avec leurs avantages et inconvénients ⚖️. L'accompagnement par des experts a été souligné comme pouvant éviter des erreurs coûteuses, et l'importance d'évaluer l'impact des prêts étudiants sur la capacité d'emprunt future a été rappelée. Sans oublier la dimension fiscale 💸 et la question du garant. Enfin, on a abordé des outils comme les simulateurs en ligne et l'importance de la rigueur dans la gestion financière 🤓. Bref, un bon tour d'horizon ! 😜
Hello ! J'ouvre ce thread car je suis dans une situation un peu particulière et je me demandais si d'autres avaient des expériences ou des conseils à partager. Voilà, j'ai encore des prêts étudiants à rembourser, mais en même temps, j'aimerais bien commencer à investir dans l'immobilier. Je sais que c'est pas forcément idéal d'avoir des dettes quand on investit, mais les taux sont encore corrects et je me dis que c'est peut-être le moment de me lancer. Est-ce qu'il y a des banques qui sont plus ouvertes à ce genre de profil ? Est-ce qu'il vaut mieux privilégier certains types d'investissements (genre location courte durée, colocation...) pour générer des revenus rapidement et rembourser les prêts ? Bref, toutes vos idées sont les bienvenues !